Pourquoi lire mon dernier roman, « Escales », chez Olivier Morattel
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J’avais beaucoup aimé « Le dernier des Weynfeldt », excellente peinture – sans jeu de mot – de la bonne société discrète et compassée zurichoise, une saveur bien particulière, une sorte de prolongation du « Mars » de Fritz Zorn. Erreur d’aiguillage pour ne pas dire déception avec « Montecristo », divertissement à caractère littéraire … Lire la suite
Ma rencontre avec l’ouvrage « Capucine », de Blaise Hofmann tient du hasard, un double hasard. Cela commença par l’annonce de l’exposition de photographies « Qui se souvient encore de Capucine » au musée Forel, la bonne institution morgienne à laquelle je suis … abonné ou avec laquelle je suis ami, à moins que ce … Lire la suite
« Il est de retour » est de retour, après le roman désopilant et bien mené de Timur Vermes, les écrans allemands ont droit à la primeur de l’adaptation cinématographique. Passer du texte à l’image n’est pas chose facile, rentre en ligne de compte le respect du roman , de l’idée que l’on s’en fait, … Lire la suite
« Perdre la paix », petit livre de souvenirs plus vrais que vrais du grand Maynard Keynes, Keynes ? LE Keynes du keynésianisme, la célèbre théorie économique – et on n’a pas inventé mieux – qui prône une redistribution partielle de la fortune par une intervention adéquate de l’Etat. Ne soyez pas étonné, l’auteur n’est … Lire la suite
Je ne pense pas, du reste, que Mme Trierweiler ait écrit quoi que ce soit de scandaleux, honteux ou déplacé. Qui peut juger du désespoir et de la légitimité de la colère d’une femme trahie !
Cela réjouira l’hétéro macho, public cible, fantasmeur à la petite semaine sur de fortes poitrines de 15 ans si possibles, sur lesquelles il est permis d’étaler sa semence avec son engin (vigoureux, forcément, merci viagra). Bref du Houellebecq.
Des barbares fétichistes de la décapitation publique d’un côté, un vieux royaume empêtré dans ses codes et procédures de l’autre ; la violence joyeuse de l’un face à la docte placidité essoufflée de l’autre, la métaphore ne parle plus, elle gueule.
« L’Ami barbare », voilà un joli livre à mettre entre toutes les mains, peut-être LE roman grand public des dix dernières années. Son genre éclectique est capable de parler à tout le monde.
Cela faisait longtemps que j’attendais un tel texte, une parole claire, sans faux-semblant, sans effets, enjolivement ou autre sur la ville, sur la détestation de la ville, ses plaisirs faciles, son inculture, sa concupiscence, sa trahison …